Les 3 « N » regroupent des politiciens qui ont tracé l’histoire de Madagascar ces dernières décennies. En face d’eux, de nouveaux venus.Conflit de générations « Une stratégie révolue et dépassée », « action stérile », « manœuvre de déstabilisation et de partage de postes », etc. Les gens du pouvoir ne tarissent pas de mots pour qualifier le processus choisi par le 3 « N » (CRN, RFN, SPDUN) en vue de l’organisation d’une conférence nationale au début du mois de juin. C’est dire l’intensité de leur rejet contre ce projet autour duquel sont réunis des politiciens, presque tous, de « vieux routiers » qui ont émaillé une série de décennies d’histoire de vie politique malgache. On les connaît presque tous.
Val A.
On se souvient de leurs actions, les uns depuis 72, les autres depuis 91, sans oublier ceux qui ont essayé de recommencer en 2002, si ce n’était pas sur la place du 13 mai, c’était dans ces salles des grands hôtels de la capitale, sinon dans d’autres endroits. Une partie étant encore des élus, des parlementaires, une autre formant la lignée des « has been », pour ne pas dire des « dinosaures ».
Malléable
Ces politiciens d’un autre âge font actuellement face à une autre génération dont les éléments sont emportés par la théorie véhiculée par les dirigeants actuels, laquelle théorie est basée sur le rejet de la « politique politicienne » et sur la primauté au travail. Une génération qui veut plus une responsabilisation de chacun à l’issue d’une alternance et non un partage de responsabilités où personne n’est responsable parce que, justement, tout le monde est responsable. Une génération qui, il faut l’admettre, tâtonnait quant à la pratique de la chose politique. Mais ne prenant pas celle-ci comme étant une fin ni une finalité, cette génération n’a pas eu à avoir honte de son comportement. La preuve, en deux ans, elle a réussi à faire de la politique une chose malléable et non incontournable. A l’heure où on parle des objectifs du Millénaire, cette catégorie de politiciens a devant elle des « collègues » toujours assidus du verbiage, toujours aussi adeptes du consensus, et toujours férus d’analyses, peut-être pertinentes mais également stériles.
Programme
La problématique de la conférence nationale illustre bien ce conflit de générations. Au-delà des autres raisons liées à la stratégie de chaque camp, l’on en conclut que l’une partie considère qu’il faut une autre voie, établie par consensus dont prendront acte plusieurs tendances politiques. L’autre partie est, quant à elle, partisane du programme établi selon la répartition des pouvoirs par la Constitution, car celle-ci prévoit que c’est le président de la République qui établit la politique générale de l’Etat. Le premier groupe, celui regroupant les « vieux routiers », estime que le « problème est politique, il faut le résoudre politiquement ». Le second groupe, par contre, pense que « si les politiciens travaillent et laissent travailler, il n’y a point de problème ». Deux idées qui se rencontrent, deux idées qui se croisent.
Aujourd'hui, les Réseaux d'Information répond aux besoins d'informations précises sur les événements survenant sur le terrain.
Tuesday, April 26, 2005
Ravalomanana se sent chez soi à Bogor, Java
Le Président Marc Ravalomanana de Madagascar serre un enfant dans ses bras dans le village de Situgede, Bogor, Java Occidental.
Le président, qui a dialogué avec les villageois locaux et les a observé travailler dur, a exprimé sa joie en voyant les champs de riz, qu'il a dits, était très productifs.
"Je me sens dans mon propre pays," a dit Ravalomanana, qui est venu en Indonésie pour le sommet Afro-Asiatique de deux jours qui s'est terminé samedi.
Le président a visité le village pour étudier comment les villageois locaux cultivent le riz, en particulier l'utilisation des engrais organiques.
Il a dit que 80% de la population de Madagascar sont des agriculteurs mais leurs rendements restent bas.
Le maire Diani Budiarto de Bogor a ravivé la population locale lors de la visite surprise du président.
"le président est venu voir la technique de culture des villageois de Situgede qui moissonnent leurs récoltes deux fois par an, alors qu'il disait, à Madagascar les agriculteurs moissonne la récolte seulement une fois par an."
Il a dit que le président a été également intéressé par la culture de manioc et de patate douce mais aussi la visite des fermes de bovins. -- JP
Le président, qui a dialogué avec les villageois locaux et les a observé travailler dur, a exprimé sa joie en voyant les champs de riz, qu'il a dits, était très productifs.
"Je me sens dans mon propre pays," a dit Ravalomanana, qui est venu en Indonésie pour le sommet Afro-Asiatique de deux jours qui s'est terminé samedi.
Le président a visité le village pour étudier comment les villageois locaux cultivent le riz, en particulier l'utilisation des engrais organiques.
Il a dit que 80% de la population de Madagascar sont des agriculteurs mais leurs rendements restent bas.
Le maire Diani Budiarto de Bogor a ravivé la population locale lors de la visite surprise du président.
"le président est venu voir la technique de culture des villageois de Situgede qui moissonnent leurs récoltes deux fois par an, alors qu'il disait, à Madagascar les agriculteurs moissonne la récolte seulement une fois par an."
Il a dit que le président a été également intéressé par la culture de manioc et de patate douce mais aussi la visite des fermes de bovins. -- JP
Thursday, April 21, 2005
Le Président Malgache interpelle pour une nouvelle approche au développement
20 avril 2005 par Charles W. Corey Washington - File Staff Writer Washington.
Ravalomanana s'est félicité de l'approche de bases de Millennium Challenge Corporation
Le compte de Millénium Challenge offre une "nouvelle approche" au développement, qui supporte la population de base, a dit le Président Marc Ravalomanana de Madagascar aux journalistes le 19 avril, un jour après que son gouvernement a signé le premier contrat avec les ETATS-UNIS au Millennium Challenge Corporation (MCC).
Joignant le Directeur du Millennium Challenge Corporation, Paul Applegarth, à un conseil au département de Presse étrangère, Ravalomanana a précisé qu'il est "très optimiste" de l'approche unique du MCC au développement et que ce dernier rencontrera un succès à Madagascar.
Ravalomanana a précisé que "l'approche du MCC c'est de travailler étroitement avec la population locale”, ainsi l'approche n’est "pas à partir du haut [vers le bas] mais du bas vers le haut." D'ailleurs, le programme de développement est un produit du peuple Malgache, il a dit.
"L'aide étrangère," a dit Paul Applegarth, "ne peut pas développer un pays. Nous avons appris depuis 50 ans d'expérience de développement, que la corruption, les mauvaises politiques et le faible gouvernement rendront l'aide inefficace."
Une aide réussie exige un solide partenariat entre le donateur et le destinataire, a t-il indiqué.
Ravalomanana s'est félicité de l'approche de bases de Millennium Challenge Corporation
Le compte de Millénium Challenge offre une "nouvelle approche" au développement, qui supporte la population de base, a dit le Président Marc Ravalomanana de Madagascar aux journalistes le 19 avril, un jour après que son gouvernement a signé le premier contrat avec les ETATS-UNIS au Millennium Challenge Corporation (MCC).
Joignant le Directeur du Millennium Challenge Corporation, Paul Applegarth, à un conseil au département de Presse étrangère, Ravalomanana a précisé qu'il est "très optimiste" de l'approche unique du MCC au développement et que ce dernier rencontrera un succès à Madagascar.
Ravalomanana a précisé que "l'approche du MCC c'est de travailler étroitement avec la population locale”, ainsi l'approche n’est "pas à partir du haut [vers le bas] mais du bas vers le haut." D'ailleurs, le programme de développement est un produit du peuple Malgache, il a dit.
"L'aide étrangère," a dit Paul Applegarth, "ne peut pas développer un pays. Nous avons appris depuis 50 ans d'expérience de développement, que la corruption, les mauvaises politiques et le faible gouvernement rendront l'aide inefficace."
Une aide réussie exige un solide partenariat entre le donateur et le destinataire, a t-il indiqué.
Wednesday, April 20, 2005
Important placement des USA pour relancer l'agriculture à Madagascar
JOHANNESBURG, 19 avr. 2005 (IRIN) - Madagascar pourrait être sur la voie d' un futur économique plus radieuse après avoir était le premier destinataire d'une initiative d'aide des USA qui récompense les pays en voie de développement pour leur engagement aux réformes politiques et économiques.
Aujourd'hui, en Afrique subsaharienne et en Asie centrale, les Réseaux d'Information Régionaux Intégrés (IRIN), rattaché au bureau de l'ONU pour la Coordination des affaires humanitaires (OCHA) répond aux besoins d'informations précises sur les événements survenant sur le terrain.
Aujourd'hui, en Afrique subsaharienne et en Asie centrale, les Réseaux d'Information Régionaux Intégrés (IRIN), rattaché au bureau de l'ONU pour la Coordination des affaires humanitaires (OCHA) répond aux besoins d'informations précises sur les événements survenant sur le terrain.
Notes du Président Malagasy Marc Ravalomanana et du Secretary Condoleezza Rice à la cérémonie de signature
SECRETARY RICE:
Maintenant, je vais vous dire que ce n'est pas la première fois que le président et moi se sont rencontré parce que pas trop longtemps après que le MCM aient été créé nous avons parlé, et il a dit, "nous allons être un pays du MCA." Et j'ai dit, "bien, vous savez, il y a ces critères." Et il a dit, "nous allons être un pays du MCM." (rire.) Et vous savez quoi? Vous êtes un pays du MCA. (applaudissements.)
PRESIDENT RAVALOMANANA:
Je suis fier!
Nous réussirons seulement, si nous ouvrons notre pays pour faire face aux défis de la compétition internationale et créons des conditions favorable et un bon climat pour l'investissement international et local.
Nous sommes honorés par la confiance du gouvernement américain, le congrès et le peuple américain.
Maintenant, je vais vous dire que ce n'est pas la première fois que le président et moi se sont rencontré parce que pas trop longtemps après que le MCM aient été créé nous avons parlé, et il a dit, "nous allons être un pays du MCA." Et j'ai dit, "bien, vous savez, il y a ces critères." Et il a dit, "nous allons être un pays du MCM." (rire.) Et vous savez quoi? Vous êtes un pays du MCA. (applaudissements.)
PRESIDENT RAVALOMANANA:
Je suis fier!
Nous réussirons seulement, si nous ouvrons notre pays pour faire face aux défis de la compétition internationale et créons des conditions favorable et un bon climat pour l'investissement international et local.
Nous sommes honorés par la confiance du gouvernement américain, le congrès et le peuple américain.
Tuesday, April 19, 2005
Le Directeur Paul Applegarth de MCC et Président Marc Ravalomanana de Madagascar négocieront du premier Millénium Challenge Compact
Monday, April 18, 2005
La déclaration de la commission du Millennium Challenge Corporation sur Madagascar
Aujourd'hui, Madagascar est devenu le premier pays pour signer le contrat avec la commision du Millennium Challenge Corporation (MCC). La signature de ce contrat marque le commencement d'une nouvelle approche de l'aide au développement qui reconnait la juste politique et la bonne gouvernance qui sont essentiel à la réduction de la pauvreté et au renforcement de la croissance économique des pays en voie de développement. Les Etats-Unis félicitent le gouvernement de Madagascar pour son travail déterminé avec Millennium Challenge Corporation pour développer ce programme de $110 millions pour épauler le revenu des paysans ruraux et la productivité, et pour son engagement juste, à investir pour sa population, et à favoriser la liberté économique. Le MCC travaille en partenariat avec d'autres pays éligibles pour accomplir leurs projets d'aide avec MCA.
Le secrétaire au Trésor des ETATS-UNIS pousse à la réduction des dettes pour les pays pauvres
Les donateurs d'aide internationaux, qui sont la Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement devraient pouvoir annuler le totale des dettes des pays en voie de développement qui sont fortement endettés, indique John Snow le Secrétaire aux Trésor des ETATS-UNIS.
Dans un rapport du 17 avril pendant les réunions annuelles de printemps de la Banque Mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) à Washington, Snow a également dit que les créanciers bilatéraux devrait prendre des mesures pour gratifier jusqu'à 100% de réduction de leur créance.
"la mise en avant de ces actions, combinées avec les nouvelles augmentations des donations, mettront immédiatement ces pays pauvres sur une voie acceptable," a dit Snow.
Les Etats-Unis soutiennent fortement l'intérêt que la communauté international porte sur la nécessité de développement de l'Afrique sub-Saharienne, a dit Snow.
Il a félicité l'augmentation moyenne de 5% de la croissance sur le continent, dire c' "est un autre réussite qui est bienvenu et qui aidera à créer un macro-environnement plus stable."
Dans un rapport du 17 avril pendant les réunions annuelles de printemps de la Banque Mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) à Washington, Snow a également dit que les créanciers bilatéraux devrait prendre des mesures pour gratifier jusqu'à 100% de réduction de leur créance.
"la mise en avant de ces actions, combinées avec les nouvelles augmentations des donations, mettront immédiatement ces pays pauvres sur une voie acceptable," a dit Snow.
Les Etats-Unis soutiennent fortement l'intérêt que la communauté international porte sur la nécessité de développement de l'Afrique sub-Saharienne, a dit Snow.
Il a félicité l'augmentation moyenne de 5% de la croissance sur le continent, dire c' "est un autre réussite qui est bienvenu et qui aidera à créer un macro-environnement plus stable."
Saturday, April 16, 2005
Souvenirs de Madagascar, le film suscite des espoirs
Madagascar espère que le prochain film "Madagascar" de l'animation SKG de DreamWorks suffira pour son industrie de tourisme ce que "Souvenirs d'Afrique" a fait pour le Kenya, a dit un fonctionnaire du tourisme mardi. DreamWorks espère un autre succé avec "Madagascar" un film animé par ordinateur une histoire de quatre animaux vivant dans un environ urbains qui s'échappent d'un zoo de New Yorket et entrent dans le choc culturel quand ils arrivent dans un île sauvage de l'Océan indien.
Le Directeur, Jeffrey Katzenberg de DreamWorks le mois dernier, a dit à des analystes que le nouveau film comporte la voix de Ben Stiller, Jada Pinkett Smith et de Chris Rock , avait une bonne considération devant l'audience d'essai Californien que "Shrek" qui était également un grand succés.
'Souvenirs d'Afrique' a été filmé au Kenya et Kenya a vu une croissance massive en tourisme dans les cinq années suivant," HenryKartagener, président d'une nouvelle agence de voyage basée a NewYork, a dit à Reuters. "Souvenirs d'Afrique," avec Meryl Streep etRobert Redford, était sorti en 1985. Mais il a averti que Madagascar pourrait seulement tirer bénéfice du film que si assezd'argent était dépensé pour promouvoir l'île sur le marché dans les agences de voyage avec les brochures touristiques, pendant que le film triomphe dans le box office le mois prochain."si vous avez vu le film et vous étiez motivé (pour venir àMadagascar), qui vous appelleriez pour obtenir l'information?" , "Aujourd'hui aux Etats-Unis, il y a vraiment nulle part."
L'île a attiré 230.000 touristes en 2004, à partir de 160.000 de 2003, le gouvernement a dit. Presque deux tiers sont venus de la France."(le film) nous permettra de viser le marché (anglophone)," a dit Honore Roger, président du bureau national du tourisme. "L' objectif est une augmentation de 20 pour cent tous les ans pour atteindre 684.000 en 2010."
Les tours opérateur disent qu'une grande partie de la croissance récente, des visites vers l'île est dû à l'épanouissement d'éco tourisme, mais que plus de vols et des meilleurs hôtels sont indispensable pour satisfaire les besoins des touristes. Madagascar est la demeure de dizaines de milliers d'espèces de plante et d'animal trouvé nulle part ailleurs, y compris le lémur légendaire, une famille des primats uniques à l'île; cela figure dans le dessin animé de DreamWorks.
MCC c'est pour le mardi, 19 avril à 10 heures
Le Président Marc Ravalomanana de Madagascar et le Directeur Paul Applegarth du Millénium Challenge Corporation vont prendre part à la réunion à l'université Johns Hopkins, Ecole Supérieur d’ Etude Internationale (SAIS).
L'université Johns Hopkins, Paul H. Nitze Ecole Supérieur d’Etudes Internationale (SAIS) accueillera une réunion sur "le contrat du Millénium Challenge Corporation-Madagascar: un partenariat pour la réduction de la pauvreté par la croissance, "le mardi, 19 avril à 10 heures du matin. Marc Ravalomanana, président de la République de Madagascar, donnera les points essentiels de la réunion. Paul Applegarth, Directeur de Millénium Challenge Corporation (MCC), fera les observations préliminaires et présentera le président de la République.
MCC et la République du Madagascar ont planifiés de signer le contrat de quatre ans de $110 millions à une cérémonie au département d'état le lundi 18 avril. La cérémonie de signature du 7 avril a était annuler du fait que la Secrétaire d'Etat Rice et le Président Malgache Ravalomanana a assisté à l'enterrement Papal à Rome.
MCC et la République du Madagascar ont planifiés de signer le contrat de quatre ans de $110 millions à une cérémonie au département d'état le lundi 18 avril. La cérémonie de signature du 7 avril a était annuler du fait que la Secrétaire d'Etat Rice et le Président Malgache Ravalomanana a assisté à l'enterrement Papal à Rome.
Friday, April 15, 2005
Quel est le problème de l'Afrique sub-saharienne?
Le développement économique de l'Afrique Sub-Aharienne dépend principalement de l’émergence de leaders politiques nationaux et régionaux honnêtes, dévoués et talentueux. Seuls de tels dirigeants pourront accumuler la légitimité nécessaire à l’unité de leurs pays et seulement alors pourront-ils attaquer de front les nombreux défis que doit relever leur région pour se débarrasser des fers de son retard.
Cependant, pour certaines des régions les plus pauvres du monde, l’Afrique sub-saharienne en particulier (ASS), s’engager à aider ne suffira peut-être pas.
Des Faits:
1- L’espérance de vie à la naissance dans les pays d’Afrique sub-saharienne est en retard de 16 ans par rapport à la moyenne des pays en développement : 14 ans derrière l’Asie du Sud et 21 ans derrière les pays de l’Asie de l’Est, de l’Amérique latine et des Caraïbes.
2- Les inscriptions scolaires globales pour le primaire, le secondaire et le supérieur, des pays de l’Afrique sub-saharienne se positionnent à 19 % en dessous de la moyenne des pays en développement : 11 % sous le niveau des pays de l’Asie du Sud, 29 % sous le niveau des pays de l’Asie de l’Est et du Pacifique et 32 % sous le niveau de l’Amérique latine et des Caraïbes.
Qu’est-ce qui peut bien expliquer ce sous-développement général ?
La monopolisation du pouvoir politique a mené, à son tour, au copinage et à la corruption, ce qui a étouffé le développement économique et social.
Des données récentes sur la perception de la corruption dans les transactions publiques montrent que les pays de l’Afrique sub-saharienne ont un score moyen le plus faible de toutes les régions en développement.
Seuls le Botswana et la Namibie atteignent des scores respectables, tandis que les pires contrevenants sont le Cameroun, l’Ouganda, le Kenya, l’Angola, Madagascar et le Nigeria.
La faible unité nationale est à la base de schémas encore plus destructeurs. Cela découragea non seulement l’investissement intérieur et étranger, mais surtout, la formation des institutions absolument nécessaires à un développement économique réussi.
En effet, l’existence d’une bureaucratie hautement qualifiée en Corée du Sud et à Taiwan, et avant eux, dans le pays qui leur servit de modèle, au Japon, fut la condition sine qua non de la réalisation de leur rapide croissance économique.
Aucune des conditions préalables au développement économique ne sera créée en Afrique sub-saharienne tant que l’héritage colonial et la faiblesse des gouvernements qui définissent la région ne seront dépassés.
Cependant, pour certaines des régions les plus pauvres du monde, l’Afrique sub-saharienne en particulier (ASS), s’engager à aider ne suffira peut-être pas.
Des Faits:
1- L’espérance de vie à la naissance dans les pays d’Afrique sub-saharienne est en retard de 16 ans par rapport à la moyenne des pays en développement : 14 ans derrière l’Asie du Sud et 21 ans derrière les pays de l’Asie de l’Est, de l’Amérique latine et des Caraïbes.
2- Les inscriptions scolaires globales pour le primaire, le secondaire et le supérieur, des pays de l’Afrique sub-saharienne se positionnent à 19 % en dessous de la moyenne des pays en développement : 11 % sous le niveau des pays de l’Asie du Sud, 29 % sous le niveau des pays de l’Asie de l’Est et du Pacifique et 32 % sous le niveau de l’Amérique latine et des Caraïbes.
Qu’est-ce qui peut bien expliquer ce sous-développement général ?
La monopolisation du pouvoir politique a mené, à son tour, au copinage et à la corruption, ce qui a étouffé le développement économique et social.
Des données récentes sur la perception de la corruption dans les transactions publiques montrent que les pays de l’Afrique sub-saharienne ont un score moyen le plus faible de toutes les régions en développement.
Seuls le Botswana et la Namibie atteignent des scores respectables, tandis que les pires contrevenants sont le Cameroun, l’Ouganda, le Kenya, l’Angola, Madagascar et le Nigeria.
La faible unité nationale est à la base de schémas encore plus destructeurs. Cela découragea non seulement l’investissement intérieur et étranger, mais surtout, la formation des institutions absolument nécessaires à un développement économique réussi.
En effet, l’existence d’une bureaucratie hautement qualifiée en Corée du Sud et à Taiwan, et avant eux, dans le pays qui leur servit de modèle, au Japon, fut la condition sine qua non de la réalisation de leur rapide croissance économique.
Aucune des conditions préalables au développement économique ne sera créée en Afrique sub-saharienne tant que l’héritage colonial et la faiblesse des gouvernements qui définissent la région ne seront dépassés.
Thursday, April 14, 2005
Le FMI indique, que l'inflation excessive à Madagascar est un grand souci
Le Fonds Monétaire International a dit qu'il a averti Madagascar que son inflation excessive demeure une préoccupation profonde, appelant pour une politique monétaire et fiscale rigoureuses.
Concluant une revue annuelle , le FMI a indiqué que Madagascar avait accompli une bonne croissance économique en 2003/4, en dépit des chocs externes tels que le prix du pétrole élevé. Mais l'établissement était encore inquiété les prix des produits locaux, a indiqué le FMI.
"L'inflation excessive demeure un souci fort et réclame une politique budgétaire rigoureuse et monétaires bien établit, tout au long de l'année 2005," a été indiqué dans un rapport publié plus tôt cette semaine aux médias locaux.
La Banque Centrale était considérablement stricte sur la politique monétaire l'année dernière; en réponse aux prix montants qui ont conduit l'île de 17 millions à plus plonger dans la pauvreté et provoquées les démonstrations de rue.
Trois hausses successives ont vu le taux de base davantage doublé, poussant jusqu'à 16% de 7%. Portant l'inflation a augmenté de 27% l'année dernière, comparé à 3,1% cent en 2003.
Le FMI a indiqué que le gouvernement était trop lent que prévu à mettre les réformes structurales en place mais avait fait quelques progrès dans le combat contre la corruption.
"Le gouvernement doit préserver la compétitivité du Madagascar et favoriser la diversification de l'exportation, en particulier à la lueur de la libéralisation des marchés mondiaux des textiles," a-t-il ajoutée.
Le textile est la plus grande exportation du Madagascar, soit 40 pour cent de recettes d'exportation totale. L'industrie a été frappée dur cette année par la concurrence accrue de la Chine depuis la fin des quotas sur de textiles par l'Organisation Mondial du Commerce, menant à la perte des 5.000 emplois dans île de l'Océan indien.
Concluant une revue annuelle , le FMI a indiqué que Madagascar avait accompli une bonne croissance économique en 2003/4, en dépit des chocs externes tels que le prix du pétrole élevé. Mais l'établissement était encore inquiété les prix des produits locaux, a indiqué le FMI.
"L'inflation excessive demeure un souci fort et réclame une politique budgétaire rigoureuse et monétaires bien établit, tout au long de l'année 2005," a été indiqué dans un rapport publié plus tôt cette semaine aux médias locaux.
La Banque Centrale était considérablement stricte sur la politique monétaire l'année dernière; en réponse aux prix montants qui ont conduit l'île de 17 millions à plus plonger dans la pauvreté et provoquées les démonstrations de rue.
Trois hausses successives ont vu le taux de base davantage doublé, poussant jusqu'à 16% de 7%. Portant l'inflation a augmenté de 27% l'année dernière, comparé à 3,1% cent en 2003.
Le FMI a indiqué que le gouvernement était trop lent que prévu à mettre les réformes structurales en place mais avait fait quelques progrès dans le combat contre la corruption.
"Le gouvernement doit préserver la compétitivité du Madagascar et favoriser la diversification de l'exportation, en particulier à la lueur de la libéralisation des marchés mondiaux des textiles," a-t-il ajoutée.
Le textile est la plus grande exportation du Madagascar, soit 40 pour cent de recettes d'exportation totale. L'industrie a été frappée dur cette année par la concurrence accrue de la Chine depuis la fin des quotas sur de textiles par l'Organisation Mondial du Commerce, menant à la perte des 5.000 emplois dans île de l'Océan indien.
Wednesday, April 13, 2005
La solide croissance et la continuité de l'économie de Madagascar
Le rapport suivant a été publié aujourd'hui à Antananarivo par une mission de personnel du Fonds Monétaire International (FMI):
"L’équipe du FMI est satisfait de la solide croissance et la continuité de l'économie de Madagascar malgré les chocs défavorables qui ont affecté l'économie en 2003-04 et le sensible augmentation des prix de son aliment de base, le riz, et l'huile. Après la nette dépréciation de la devise au premier semestre 2004, le marché de change a été relativement stable. Cependant, l'inflation élevée demeure une grande préoccupation et réclame tout au long de l'année 2005 la mis en oeuvre de politique monétaire budgétaires continue et sévère. Le coût externe et la compétitivité des prix se sont améliorés, cependant tout ceci reflète la grande dépréciation du taux de change nominal depuis le début 2004.
" La réalisation des réformes structurelles a été légèrement plus lente par rapport à ce que le gouvernement a envisagé ultérieurement. Cependant, des progrès a été réalisé dans la lutte contre la corruption, notamment avec l'établissement d'un bureau d'anti-corruption. Dans les discussions avec les autorités malgaches, l'équipe de la FMI a souligné l'importance du renforcement de la perception de revenu fiscale, la mise en valeur de la gestion de dépense publique, l'amélioration de la politique monétaire , et l'accélération de la politique de réforme structurelle. Elle serait également critique pour préserver la compétitivité de Madagascar et pour favoriser la diversification d'exportation, en particulier au moment de la libéralisation des marchés mondiaux du textile.
"Le conseil exécutif de FMI a programmé de discuter l'article IV des consultations 2005 dans les prochains mois, ainsi qu'une évaluation de l'engagement de Madagascar sur les fonds au cours des 15 dernières années. Cette discussion donnera également au conseil une occasion de discuter du futurs rapports entre le FMI et Madagascar, y compris pour d'autres accord financiers."
"L’équipe du FMI est satisfait de la solide croissance et la continuité de l'économie de Madagascar malgré les chocs défavorables qui ont affecté l'économie en 2003-04 et le sensible augmentation des prix de son aliment de base, le riz, et l'huile. Après la nette dépréciation de la devise au premier semestre 2004, le marché de change a été relativement stable. Cependant, l'inflation élevée demeure une grande préoccupation et réclame tout au long de l'année 2005 la mis en oeuvre de politique monétaire budgétaires continue et sévère. Le coût externe et la compétitivité des prix se sont améliorés, cependant tout ceci reflète la grande dépréciation du taux de change nominal depuis le début 2004.
" La réalisation des réformes structurelles a été légèrement plus lente par rapport à ce que le gouvernement a envisagé ultérieurement. Cependant, des progrès a été réalisé dans la lutte contre la corruption, notamment avec l'établissement d'un bureau d'anti-corruption. Dans les discussions avec les autorités malgaches, l'équipe de la FMI a souligné l'importance du renforcement de la perception de revenu fiscale, la mise en valeur de la gestion de dépense publique, l'amélioration de la politique monétaire , et l'accélération de la politique de réforme structurelle. Elle serait également critique pour préserver la compétitivité de Madagascar et pour favoriser la diversification d'exportation, en particulier au moment de la libéralisation des marchés mondiaux du textile.
"Le conseil exécutif de FMI a programmé de discuter l'article IV des consultations 2005 dans les prochains mois, ainsi qu'une évaluation de l'engagement de Madagascar sur les fonds au cours des 15 dernières années. Cette discussion donnera également au conseil une occasion de discuter du futurs rapports entre le FMI et Madagascar, y compris pour d'autres accord financiers."
Tuesday, April 12, 2005
Prix Musique du Monde à l' International Songwriting Compétition
L'artiste malgache Modeste Hugues gagne le Prix Musique du Monde à l' International Songwriting Compétition. (ISC).Nashville, Tennessee, Etats-Unis - La Compétition Internationale de Songwriting (ISC) a annoncé les gagnants pour sa compétition annuelle de 2004. Modeste, un artiste de Madagascar, maintenant basé à Londres (Angleterre), a gagnée dans la catégorie Musique du Monde. ISC a reçu plus de 11.000 entrées de 77 pays en sa troisième année de compétition. Les prix ISC incluent plus de $100.000 (USD) comptant et cela partagés par 50 gagnants dans les 16 catégories.
Une liste de primates le plus menacé d'extinction
- Lémur bambou de Madagascar (Simus Prolémur),
- Lémur Blanc de Madagascar (Albocollaris d'Eulémur),
- Sifaka Perrier de Madagascar (Perrieri Propithecus),
- Sifaka Soyeux de Madagascar (Candidus Propithecus),
Et ainsi de suite ….
- Lémur Blanc de Madagascar (Albocollaris d'Eulémur),
- Sifaka Perrier de Madagascar (Perrieri Propithecus),
- Sifaka Soyeux de Madagascar (Candidus Propithecus),
Et ainsi de suite ….
Friday, April 08, 2005
Madagascar mit sur la bonne voie
Il y a trois ans l'avenue de l'indépendance d'Antananarivo a été envahi par des protestataires, chantant le nom de l'homme qu'ils ont cru avoir gagné l'élection et réclamant le changement. Aujourd'hui les rues de la capital malgache sont bloquées avec des voitures et l'énorme gare coloniale à l'extrémité de l'avenue de l'indépendance est de retour dans les affaires.
Comme beaucoup d'autres compagnies sur l'île, le chemin de fer d'état a souffert pendant la révolution de six mois qui a apporté le gouvernement du Président Marc Ravalomanana au pouvoir. Mais la compagnie et les vieilles locomotives dilapidées ont été révisées pendant les trois dernières années.
'semblé impossibles '
"quand nous avons repris il a semblé simplement impossible " a dit Patrick Stevenaert, directeur général de Madarail, la nouvelle compagnie qui a succédé l'opérateur d'état. Les moteurs ont été peints en rouges clair et prennent maintenantdes voyages réguliers de fret du port de Tamatave sur la voieferroviaire qui a été égalemant rénovée.
Nous avons eu une locomotive qui fonctionnait quand nous avons débuté en juillet 2003, et nous avons 12 aujourd'hui. "maintenant nous avons un service régulier, un dépôt de container; nous rénovons plus de locomotives et nous projetons de présenter un trainde voyageurs."
Amie investisseurs
La société des chemins de fer espère faire un bénéfice par la suite, mais pour le moment elle tire bénéfice des fonds de la banquemondiale et les donateurs internationaux, qui font la queue pour aider Madagascar - un des pays les plus pauvres du monde. Un gouvernement et un président avec une approche orientée dans les affaires a certainement aidé, l'industrie est également sur la bonne voie.
Les usines de textile qui ont été arrêtées pendant la crise, quand la capital a était coupé du port de Tamatave par les blocus, ont maintenant re-ouvert. Environ 110.000 personnes sont de retour au travail et l'industrie combatte dur en concurrençant les producteurs chinois. "nous regardons le code des investissements et les lois pour simplifier le travail qu'un investisseur doit effectuer pour s'installer à Madagascar - en quelques jours vous pouvez maintenant installer une compagnie," a dit John Hargreaves de l'association représentant des exportateurs. "c'est maintenant un pays amie des investisseur" il a ajouté, quoique ce soit toujours une lourde tâche administrative.
Les nouveaux bâtiments
Les compagnies sud-africaines se sont implantées; des usines, des bureaux, des magasins étaient montés - même des nouveaux bâtiment se sont érigé. L'association Public-Privées se sont réalisé et des industries se sont privatisées. L'exploitation minière est une des grands espoirs pour l'économie ; avec des projets de milliard de dollar qui ont était déjà finalisé. Le pétrole a été trouvée sur la côte nord-ouest et l'exploration continue. Le gouvernement indique qu'une grande compagnie d'exploitation a déjà signé et elle pourrait être très intéressant pour le pays.
Mais peut-être le plus grande étape pour alléger la pauvreté sont venues avec la réalisation des projets d'infrastructure. Le Fonds d'Interposition pour le Développement (FID) ont construit des écoles et des cliniques avec la banque mondiale et des fonds internationaux, mais sont également impliqués dans un projet "de filet de sécurité social"."FID est une clef pour favoriser le développement dans ce pays," a dit Davida Rajaon directeur général du FID. "Ce sont des fonds sociaux, très utilisé pour la population pauvre - nous les plaçons pour construire des routes et des ponts et ainsi tous les services autour."
Renforcer le programme d’éducation de base à Madagascar
6 avril 2005 – (UNESCO) Des cours d’alphabétisation fonctionnelle intensive, la formation technique et professionnelle et l’apprentissage accéléré pour les adolescents malgaches sont quelques-uns des domaines qui devront être renforcés dans le Programme conjoint gouvernement de Madagascar/système des Nations Unies pour la promotion de l’éducation de base pour tous les enfants malgaches.
Cela a été décidé lors de la récente réunion du Conseil d’orientation et de validation du Programme conjoint. Le conseil était présidé par le ministère de la Population, de la Protection sociale et des Loisirs, le coordonnateur national du système des Nations Unies et les agences des Nations Unies dont le PNUD, l’UNESCO, le FNUAP, le PAM et l’OIT. Le thème de la réunion de cette année était la planification de la phase 2 du Programme conjoint (2005-2009) au vu des résultats positifs obtenus durant la première phase sur la période 2001-2005.
Cela a été décidé lors de la récente réunion du Conseil d’orientation et de validation du Programme conjoint. Le conseil était présidé par le ministère de la Population, de la Protection sociale et des Loisirs, le coordonnateur national du système des Nations Unies et les agences des Nations Unies dont le PNUD, l’UNESCO, le FNUAP, le PAM et l’OIT. Le thème de la réunion de cette année était la planification de la phase 2 du Programme conjoint (2005-2009) au vu des résultats positifs obtenus durant la première phase sur la période 2001-2005.
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